C’est lors du premier des cinq jours de stage des BelSevens, le lundi 1er mars, qu’Emilie Musch a pris le temps de répondre à nos questions entre deux séances d’entraînement. "Depuis peu on est passé dans le programme BeGold. Avec ce stage on veut vraiment marquer le début de cette nouvelle ère, pour essayer d’accomplir tous les objectifs que l’on s’est fixés. On se sent soutenues, ça fait vraiment plaisir. On a juste envie de continuer à travailler comme on le fait depuis toujours", explique Emilie.

Qu’est-ce que l’étiquette BeGold peut changer pour nos internationales à 7 ? "Cela donne un statut qui est reconnu au niveau belge", estime Emilie. "Je pense que cela va permettre une meilleure visibilité aussi, même auprès des différents sports qui sont déjà dans ce programme. Et cela nous permet d’entrer dans cette famille un peu fermée des Olympiens ou futurs Olympiens. On rêvait déjà de ces JO avant, mais là on a l’impression que c’est quelque chose qui peut encore plus se concrétiser".

Si elles mesurent la chance qu’elles ont d’avoir pu continuer à s’entraîner malgré la crise sanitaire, les BelSevens ont-elles pour autant perdu un an ou malgré tout pu progresser. "Sur certains points, on a pu progresser et sur d’autres points on a l’impression de perdre notre temps. Mais de toute façon on continue à travailler donc ce n’est que du temps gagné".

Visionnez ci-dessous l’intégralité de l’interview d’Emilie Musch.